Comment je traite le mouton noir ?


Dans un groupe, le « mouton noir » n’a souvent commis qu’un seul « crime » : celui d’être différent, que ce soit par sa personnalité, ses méthodes de travail, ses opinions ou son caractère. Ce mouton noir, en étant lui-même, met en lumière la culture dominante du groupe. Et s’il a l’audace d’être authentique, comme le font les jeunes générations, il risque parfois la stigmatisation, la mise à l’écart ou même le harcèlement.

Le rôle d’un manager, c’est justement de ne pas condamner cette différence, mais d’y voir une richesse.

On parle souvent de bienveillance, mais elle doit s’appliquer aussi à ceux qui ne nous ressemblent pas.

Nos vraies qualités de tolérance se révèlent justement quand on accueille le mouton noir et qu’on apprend à en faire un élément qui enrichit l’ensemble.

Dans mes accompagnements, j’utilise des outils psychométriques pour identifier et analyser la culture de groupe, en repérant les profils « dissonants ».

L’étape suivante, c’est de construire une complémentarité et une synergie, afin que chacun trouve sa place et que la différence devienne une force.

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